La forêt pétrifiée d’Arizona, preuve d’un déluge universel

Quand mon épouse et moi sommes allés visiter le Sud-ouest américain. Nous voulions voir de nos yeux la forêt pétrifiée d’Arizona. Il s’agit d’un endroit unique part sa géologie et son relief très particulier.

 

 Certains arbres pétrifiés étendus sur le sol sont gigantesques et mesurent plus de quinze mètres de long avec des troncs de plus d’un mètre de diamètre et il y en a partout. Ils sont dans un état de conservation extraordinaire. Nous distinguons par l’écorce qu'il s'agissait d'une forêt de conifères et en comptant les anneaux de croissance il est possible  d’estimer le nombre d’années qu’ont vécu certains arbres. Les couleurs sont fascinantes par leurs reflets minéraux multicolores.

 

 

 

L’explication classique

L’explication offerte sur place indique que la formation de cette ancienne forêt ensevelie date de plus de 225 millions d’années. Elle aurait pris des millions d’années pour se pétrifier sous l'eau. Ensuite, pour expliquer l’altitude qui se situe entre 1600 à 1900 mètres au dessus du niveau de la mer, des mouvements tectoniques auraient fait monter le plateau de cette ancienne forêt, il y a de cela 60 millions d’années. La superficie estimée s'étend de l’Utah au Texas. Depuis ce temps, l’érosion qui se poursuit aujourd’hui à rendu visible les troncs pétrifiés.

 

Comment expliquer le phénomène de la pétrification d’un arbre

Le problème est que les événements décrits n’expliquent pas vraiment comment des forêts entières ont pu être pétrifiées.

 

Pour résumer, la pétrification nécessite trois choses en particulier :

  • de l’eau 
  • mêlée à des sédiments 
  • un ensevelissement rapide

L’eau permet aux minéraux présents dans les sédiments de remplacer les cellules de l’arbre et l’ensevelissement rapide permet d'empêcher que le processus de décomposition organique ne s’installe avant que tout soit pétrifié. C’est ainsi que la forme de l’arbre est conservée sous forme minéralisée.

Des forêts entières ont été découvertes pétrifiées sur d’immenses territoires et à plusieurs endroits sur le globe. Pour ce faire,  il fallait inévitablement des quantités d’eau extraordinaire !

 

Souvent les couches géologiques sont interprétées et utilisées pour démontrer que les différentes forêts pétrifiées furent enterrées à différents moments de l’histoire géologique de notre planète, parce qu’à différentes profondeurs dans les strates géologiques. Pourtant, des observations directes et documentées durant ces dernières décennies ont montrés que des couches géologiques ont pu être déposées en peu de temps pendant un événement catastrophique (Ex. Le volcan Mont Ste-Hélène et ses environs au début des années 1980).

 

Une explication raisonnable troublante par ces implications

L’absence d’érosion entre les couches géologiques et l’extraordinaire état de conservation de ces arbres montre que les choses ont dû se produire rapidement.

 

La Bible rapporte un évènement historique qui offre une explication raisonnable. Un évènement cataclysmique appelé le déluge de Noé décrit dans la Genèse. Le déluge réunit toutes les conditions nécessaires pour que de grands territoires comme « la forêt pétrifier d’Arizona » puissent exister aujourd’hui.

 

Nous devons donc considérer l’exactitude historique de la Bible.

 

Il y est écrit que la destruction fut la conséquence de la méchanceté et l’incrédulité de l’humanité à l’époque du déluge, et ce malgré les avertissements du Dieu créateur par l’entremise du prédicateur de la justice qu’était Noé. Seul un petit nombre de personnes ont survécu au châtiment qui s’est abattu sur eux parce qu’ils ont eu confiance en Dieu.

 

La Bible nous dit aussi que le Créateur en la personne de Jésus-Christ a dû intervenir dans l’histoire de l’humanité pour nous donner le moyen efficace pour être sauvé des conséquences du mal.

 

Aujourd’hui encore, l’appel de Dieu pour nous sauver est là, à notre portée dans la Bible.

 

Comme dans l’arche de Noé, nous pouvons nous réfugier dans la personne de Jésus-Christ. Jean. 3:16

 

Par Michel Couillard

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